Dès janvier, Les Amanins ont organisé une rencontre de partenaires et membres de son équipe pour le lancement du projet de recherche-action sur la régénération.

Parmi ces partenaires :
Association Biovallée, INRAE, Terre & Humanisme, association Pour une Hydrologie Régénérative, Adaf 26, Agribiodrôme, Permalab, École Pratique de la Nature et des Savoirs, CFPPA de Die, Pépinière Les Alvéoles, Nathanaël Coste (Kamea Meah), acteurs de l’approche culturelle des paysages, etc.

À plusieurs acteurs pionniers de la régénération sur la Vallée de la Drôme, l’idée est de travailler ensemble à un référentiel pédagogique sur la régénération et un récit positif contagieux. C’est aussi un levier pour répondre conjointement à des appels à projet et solliciter des subventions publiques. L’association a missionné une coordinatrice dans ce but.

Rassemblement lors des 20 ans des Amanins

En mars 2024, un temps de célébration des 20 ans a réuni 80 « bâtisseurs » des Amanins : parents, anciens élèves, constructeurs, anciens et nouveaux salariés, partenaires…

Ces retrouvailles et réjouissances qui resserrent les liens, ont aussi permis de récolter 20 témoignages vidéos clés qui participent de la capitalisation sur la mémoire du lieu, les apprentissages en agroécologie, la pédagogie, et d’identifier les évolutions nécessaires à la suite du projet Amanins.

Se former à la régénération

Ce printemps, Les Amanins ont proposé 5 jours de formation sur les paysages régénératifs à l’équipe et ses partenaires : de façon très concrète, cette exploration opérationnelle a invité chacun à chausser des lunettes de permaculteurs pour aborder les activités du lieu dans ce nouveau contexte de changement climatique qui agit sur les cultures, la nature et aussi sur notre moral !

Au programme : apports pédagogiques et rencontres de sites expérimentaux du territoire de la Vallée de la Drôme.
Voici quelques thématiques de cette formation apprenante : ralentir, capter, infiltrer l’eau et améliorer sa qualité, nourrir le sol, adapter les types de cultures, choisir les plantes et savoir les associer, faciliter la régénération de la forêt, accélérer les successions végétales, designer le paysage en identifiant les endroits stratégiques pour maximiser les répercussions….

Un groupe de travail mixte parents de l’école du Colibri / salariés de la SCOP / association / prestataire bilan carbone s’est constitué pour travailler sur l’efficacité énergétique de ses installations et bâtiments, et sur l’évolution de ses infrastructures (éco-constructions, production et auto-consommation énergétique, récupération d’eau…).
Étape suivante : aborder les questions de connectivité, mobilité, hébergement complémentaire, biodiversité.

Vous avez envie de rejoindre vous aussi le projet le soutenir ? C’est par ici !